Citoyenneté

Allemagne Naziennemodifier

Le nazisme, la variante allemande du fascisme du XXe siècle, classait les habitants du pays en trois catégories hiérarchiques principales, chacune ayant des droits différents par rapport à l’état: citoyens, sujets et étrangers. La première catégorie, les citoyens, devait posséder tous les droits et responsabilités civiques. La citoyenneté n’était conférée qu’aux hommes d’origine allemande (ou dite « aryenne ») ayant accompli leur service militaire, et pouvait être révoquée à tout moment par l’état., La Loi sur la citoyenneté du Reich de 1935 a établi des critères raciaux pour la citoyenneté dans le Reich allemand, et à cause de cette loi, les Juifs et autres personnes qui ne pouvaient pas « prouver l’héritage racial allemand » ont été déchus de leur citoyenneté.

La deuxième catégorie, les sujets, désignait toutes les autres personnes nées à l’intérieur des frontières de la nation qui ne correspondaient pas aux critères raciaux de citoyenneté. Les sujets n’auraient aucun droit de vote, ne pourraient occuper aucune position au sein de l’état et ne posséderaient aucun des autres droits et responsabilités civiques conférés aux citoyens., Toutes les femmes devaient se voir conférer le statut de » sujet « à la naissance et ne pouvaient obtenir le statut de » citoyenne  » que si elles travaillaient de manière indépendante ou si elles épousaient un citoyen allemand (voir femmes dans L’Allemagne nazie).

la dernière catégorie, les étrangers, se référait à ceux qui étaient citoyens d’un autre État, qui n’avaient pas non plus de droits.

Israelmodifier

Article principal: Loi sur la citoyenneté israélienne

Les principaux principes de la citoyenneté israélienne sont le jus sanguinis (citoyenneté par ascendance) pour les Juifs et le jus soli (citoyenneté par Lieu de naissance) pour les autres.

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