Toit vert

en France, un vaste toit vert de 8 000 m2 (86 000 pieds carrés) créé sur l’école internationale de Lyon. Un autre immense toit vert d’environ 8 000 m2 (86 000 pieds carrés) a été intégré au nouveau musée L’Historial de la Vendée qui a ouvert ses portes en juin 2006 aux Lucs-sur-Boulogne.,

AllemagneModifier

de longues traditions de toit vert ont commencé au début de la période d’industrialisation il y a plus de 100 ans en Allemagne. Dans les années 1970, la technologie des toits verts a été élevée au niveau supérieur. De graves problèmes d’eaux pluviales ont amené les villes à réfléchir à des solutions innovantes, de préférence avec des plantes vivantes. La technologie moderne de toit vert avec des matériaux légers et performants a été utilisée pour faire pousser une végétation robuste même sur des toits qui peuvent difficilement supporter une charge supplémentaire., Dans les années 1980, la technologie moderne des toits verts était connue en Allemagne alors qu’elle était pratiquement inconnue dans aucun autre pays du monde. À Stuttgart, avec L’un des départements les plus innovants des parcs et loisirs et avec les plus anciennes universités horticoles du monde, la technologie moderne des toits verts a été perfectionnée et mise en œuvre à grande échelle.

avec le premier boom de l’industrie des toits verts en Allemagne, des problèmes de qualité ont été enregistrés. Le FLL a formé un comité qui se concentre sur la technologie moderne des toits verts., FLL signifie Forschungsgesellschaft Landschaftsentwicklung Landschaftsbau e. V. (société allemande de recherche, de développement et de Construction du paysage). Le FLL est une organisation indépendante à but non lucratif. Il a été fondé en 1975 par huit organisations professionnelles pour « l’amélioration des conditions environnementales par l’avancement et la diffusion de la recherche sur les plantes et ses applications prévues ». Le groupe de travail sur le toit vert du FLL n’est que l’un des 40 comités qui ont publié une longue liste de lignes directrices et d’instructions de travail., Certaines de ces directives sont également disponibles en anglais, y compris la directive FLL allemande pour la planification, L’exécution et l’entretien des sites à toit vert. Les résultats de la recherche et de la synthèse effectuées par les membres de FLL sont constamment mis à jour et promulgués en utilisant les mêmes principes qui régissent la compilation des normes DIN et sont publiés sous forme de principes directeurs ou d’instructions de travail.

la ligne directrice actuelle sur les toits verts a été publiée en 2011.Aujourd’hui, la plupart des éléments de la FLL allemande font partie des normes et directives du monde entier (FM Global, ASTM, NRCA, SPRI, etc.).,

Fachvereinigung Bauwerksbegrünung (FBB) a été fondée en 1990 en tant que deuxième association de toits verts après DDV (Deutscher Dachgaertner Verband) en 1985. FBB a été fondée en tant que forum ouvert pour les fabricants et les planificateurs, les commerçants et les opérateurs en 1990. L’organisation est née de l’idée alors visionnaire de comprendre la relation entre la nature et les constructions non pas comme une opposition, mais comme une opportunité. Les industries de la toiture verte et de la toiture conventionnelle sont également représentées.,Le FBB s’est développé pour devenir un groupe de lobbying innovant avec une forte présence sur le marché, internationalement connu grâce à sa coopération avec d’autres associations européennes. Aujourd’hui, environ 100 entreprises membres utilisent les services multiformes offerts par FBB, qui offre un plus grand degré d’expertise et de compétitivité sur le marché. « Kompetenz im Markt ».

Aujourd’hui, environ 10 000 000 m2 (110 000 000 pieds carrés) de nouveaux toits verts sont construits chaque année. Selon les dernières études, environ 3⁄4 d’entre eux sont étendus; les derniers 1⁄4 sont des jardins sur le toit., Les villes avec le plus de toits verts en Allemagne sont Berlin et Stuttgart. Les enquêtes sur l’état de la réglementation sont effectuées par le FBB. Près d’un tiers des villes allemandes ont des réglementations pour soutenir la technologie des toits verts et de l’eau de pluie. Les instituts de recherche Green-roof sont situés dans plusieurs villes comme Hanovre, Berlin, Geisenheim et Neubrandenburg.

L’Allemagne est le pays avec le plus de toits verts dans le monde ainsi que le pays avec la connaissance la plus avancée dans la technologie moderne de toit vert., Les toits verts en Allemagne font partie du système d’apprentissage de 2 à 3 ans des professionnels de l’aménagement paysager.

GreeceEdit

Le Ministère grec des Finances a installé un toit vert sur le Trésor en Place de la Constitution à Athènes. Le soi – disant « oikostegi » (Grec-oiko, prononcé , signifiant bâtiment-écologique, et stegi, prononcé staygee, signifiant toit-demeure-abri) a été inauguré en septembre 2008., Des études de thermodynamique de la toiture réalisées en septembre 2008 ont conclu que la performance thermique du bâtiment avait été significativement affectée par l’installation. Dans d’autres études, en août 2009, des économies d’énergie de 50% ont été observées pour la climatisation dans le sol directement sous l’installation. Le bâtiment de dix étages a une superficie totale de 1,4 hectares (3,5 acres). L’oikostegi couvre 650 pieds carrés (60 mètres carrés), soit 52% de la surface de toit et 8% de la surface totale au sol., Malgré cela, des économies d’énergie totalisant 5 630 €par an ont été enregistrées, ce qui se traduit par une économie de 9% en climatisation et de 4% en factures de chauffage pour l’ensemble du bâtiment. Une autre observation et conclusion de l’étude a été que la performance thermodynamique de l’oikostegi s’était améliorée à mesure que la biomasse était ajoutée au cours des 12 mois entre la première et la deuxième étude. Cela suggère que de nouvelles améliorations seront observées à mesure que la biomasse augmentera encore., L’étude a également indiqué que pendant que les mesures étaient effectuées par des caméras thermiques, une pléthore d’insectes bénéfiques ont été observés sur le toit, tels que des papillons, des abeilles mellifères et des coccinelles. Évidemment, ce n’était pas le cas avant l’installation. Enfin, l’étude a suggéré que le micro-climat et la biodiversité de la place de la Constitution, à Athènes, en Grèce, avaient été améliorés par l’oikostegi.,

IcelandEdit

Les toits en gazon sont fréquemment trouvés sur les fermes traditionnelles et les bâtiments agricoles en Islande.

Suissemodifier

La Suisse possède l’un des plus anciens toits verts D’Europe, créé en 1914 à L’usine de traitement des eaux du lac Moos, Wollishofen, Zürich. Ses réservoirs filtrants ont 30 000 m2 (320 000 pieds carrés) de toits plats en béton. Pour garder l’intérieur frais et empêcher la croissance bactérienne dans les lits de filtration, une couche de drainage de gravier et un 15-centimètre (5.,Une couche de terre de 9 pouces a été étalée sur les toits, qui avaient été imperméabilisés avec de l’asphalte. Une prairie développée à partir de graines déjà présentes dans le sol; c’est maintenant un refuge pour de nombreuses espèces végétales, dont certaines sont maintenant disparues dans le district, notamment 6 000 Orchis morio (orchidée à ailes vertes). Des exemples Suisses plus récents peuvent être trouvés à Klinikum 1 et Klinikum 2, aux hôpitaux cantonaux de Bâle et à la plate-forme Sihlpost de la gare principale de Zürich.,

Suèdemodifier

Ce Qui est prétendu être le premier jardin botanique à toit vert au monde a été créé à Augustenborg, Malmö en mai 1999. L’International Green Roof Institute (IGRI) a ouvert ses portes au public en avril 2001 en tant que station de recherche et établissement d’enseignement. (Il a depuis été renommé le Scandinavian Green Roof Institute (SGRI), compte tenu du nombre croissant d’organisations similaires dans le monde.,) Les toits verts sont bien établis à Malmö: le lotissement D’Augustenborg près du jardin botanique SGRI comprend des toits verts et un vaste aménagement paysager de cours d’eau, d’étangs et de voies de trempage entre les bâtiments pour faire face au ruissellement des eaux pluviales.

Le nouveau développement résidentiel urbain Bo01 (dans le Västra Hamnen (Port Ouest) près du pied de L’immeuble de bureaux et d’appartements Turning Torso, conçu par Santiago Calatrava) est construit sur le site d’anciens chantiers navals et de zones industrielles, et intègre de nombreux toits verts.,

en 2012, le centre commercial Emporia avec son jardin sur le toit de 27 000 mètres carrés (290 000 pieds carrés) a été ouvert. La taille du jardin sur le toit est approximativement équivalente à 4 terrains de football, ce qui en fait l’un des plus grands parcs sur le toit vert d’Europe accessible au public.

Royaume-Uniemodifier

en 2003, English Nature a conclu qu ‘ »au Royaume-Uni, les décideurs ont largement ignoré les toits verts »., Cependant, les exemples britanniques peuvent être trouvés avec une fréquence croissante. Les jardins sur le toit de Kensington sont un jardin sur le toit remarquable qui a été construit au-dessus de L’ancien grand magasin de Derry & Toms à Kensington, Londres en 1938. Des exemples plus récents peuvent être trouvés au campus Jubilee de L’Université de Nottingham, et à Londres au magasin Sainsbury’s Millennium à Greenwich, au Musée Horniman et à Canary Wharf. Le domaine Ethelred, près de la Tamise, dans le centre de Londres, est le plus grand projet de végétalisation des toits de la capitale britannique à ce jour., Toxteth à Liverpool est également candidat pour un projet majeur d’écologisation des toits.

au Royaume-Uni, les toits verts intensifs sont parfois utilisés dans les zones urbaines bâties où les résidents et les travailleurs n’ont souvent pas accès aux jardins ou aux parcs locaux. De vastes toits verts sont parfois utilisés pour mélanger des bâtiments dans un environnement rural, par exemple par Rolls-Royce Motor Cars, qui possède l’un des plus grands toits verts d’Europe (couvrant plus de 32 000 m2 (340 000 pieds carrés) sur leur usine à Goodwood, West Sussex.,

L’Université de Sheffield a créé un centre D’Excellence sur les toits verts et a mené des recherches, en particulier dans un contexte britannique, sur les toits verts. Dr Nigel Dunnett de L’Université de Sheffield a publié un livre centré sur le Royaume-Uni sur la toiture verte en 2004 (mis à jour en 2008).

Fort Dunlop a le plus grand toit vert au Royaume-Uni depuis son réaménagement entre 2004 et 2006.

le Royaume-Uni possède également l’une des installations de préparation des aliments les plus innovantes d’Europe, la Kanes salad factory à Evesham. Il est surmonté d’un toit de fleurs sauvages avec près de 90 espèces de fleurs sauvages et d’herbes naturelles., Le mélange de semences a été préparé en consultation avec des écologistes de premier plan pour essayer de minimiser l’impact sur l’environnement local. La couverture de fleurs sauvages pré-cultivées se trouve au-dessus d’un toit à couture debout et est combinée avec des panneaux solaires pour créer une finition écologique à l’ensemble de l’usine. Le développement a également remporté 2013 de la Fédération Nationale des Entrepreneurs en Toiture Toit Durable Prix pour Toiture Verte.,

États-UnisModifier

l’une des plus grandes étendues de toit vert étendu se trouve aux États-Unis, à L’usine de River Rouge de Ford Motor Company, à Dearborn, Michigan, où (42 000 m2) des toits des usines D’assemblage sont recouverts de sedum et d’autres usines, conçues par William McDonough; l’assemblage de 18 millions de dollars évite le besoin de ce qui serait autrement 50 millions de dollars d’installations de traitement mécanique sur le site. Construit sur Millennium Park Garage, Chicago 24.,5 acres (9,9 ha) Millennium Park est considéré comme l’un des plus grands toits verts intensifs. D’autres exemples Américains bien connus incluent L’hôtel de ville de Chicago et l’ancien siège de Gap, maintenant le siège de YouTube, à San Bruno, en Californie. L’armée américaine dispose de deux principaux toits verts dans la région de Washington, D. C.: le quartier général de la Garde côtière américaine (550 000 pieds carrés ou 51 000 mètres carrés) et le Pentagone (180 000 pieds carrés ou 17 000 mètres carrés).,

un bâtiment au toit vert (achevé en 1971) est le bâtiment du siège social Weyerhaeuser de 358 000 pieds carrés (33 300 m2) à Federal Way, Washington. Son système de toit de bureau de 5 étages comprend une série de terrasses étagées couvertes de verdure. Depuis les airs, le bâtiment se fond dans le paysage.

le plus grand toit vert de New York a été installé dans le centre de Manhattan au sommet du Centre de traitement et de Distribution Morgan du United States Postal Service., La Construction du projet de 109 000 pieds carrés (10 100 m2) a commencé en septembre 2008 et a été terminée et consacrée en juillet 2009. Couvert de végétation indigène et ayant une durée de vie prévue de cinquante ans, ce toit vert permettra non seulement à L’USPS d’économiser environ 30 000 costs par année en coûts de chauffage et de refroidissement, mais réduira également considérablement la quantité de contaminants des eaux pluviales entrant dans le réseau d’eau municipal.,En 2001, au sommet de L’Hôtel De Ville de Chicago, les jardins sur le toit de 38 800 pieds carrés (3 600 m2) ont été achevés, servant de projet pilote pour évaluer l’impact des toits verts sur l’effet des îlots de chaleur dans les zones urbaines, le ruissellement des eaux de pluie et l’efficacité des différents types Bien que le toit ne soit normalement pas accessible au public, il est visuellement accessible depuis 33 bâtiments plus hauts de la région. Le jardin se compose de 20 000 plantes de plus de 150 espèces, y compris des arbustes, des vignes et deux arbres., L’équipe de conception du toit vert était dirigée par la société Conservation Design Forum de la région de Chicago en collaboration avec le célèbre architecte « Vert » William McDonough. Avec une abondance de plantes à fleurs sur le toit, les apiculteurs récoltent environ 200 livres (90 kg) de miel chaque année à partir de ruches installées sur le toit. Les visites du toit vert sont sur arrangement spécial seulement. Le toit vert de l’hôtel de ville de Chicago a remporté le merit design award du concours de L’American Society of Landscape Architecture (ASLA) en 2002.,

Les 14 000 pieds carrés (1 300 m2) d’espace extérieur au septième étage de Zeckendorf Towers, anciennement un toit non distingué rempli de plantes en pot, constituent le plus grand toit vert résidentiel de New York. Le toit a été transformé en 2010 dans le cadre de la campagne D’Infrastructure verte du maire Michael Bloomberg à New York, et sert soi-disant à capturer une partie de la pluie qui tombe dessus plutôt que de la laisser s’écouler et de contribuer aux inondations dans la station de métro adjacente D’Union Square.

certains coûts peuvent également être attribués à la maintenance., Les toits verts extensifs ont peu d’entretien, mais ils ne sont généralement pas sans entretien. La recherche allemande a quantifié la nécessité d’éliminer les semis indésirables à environ 6 secondes/m2/an. L’entretien des toits verts comprend souvent la fertilisation pour augmenter la floraison et la couverture des plantes succulentes. Si l’esthétique n’est pas un problème, la fertilisation et l’entretien ne sont généralement pas nécessaires. Les toits verts extensifs ne doivent être fertilisés qu’avec des engrais à libération contrôlée afin d’éviter la pollution des eaux pluviales., Les engrais conventionnels ne doivent jamais être utilisés sur de vastes toits végétalisés. Des études allemandes ont approximé les besoins en nutriments des toits végétalisés à 5 gN/m2. Il est également important d’utiliser un substrat qui ne contient pas trop de nutriments disponibles. Les directives FLL spécifient la teneur maximale autorisée en nutriments des substrats.

l’un des plus anciens toits verts américains existant est au sommet du Rockefeller Center à Manhattan, construit en 1936., Ce toit était avant tout une entreprise esthétique pour le plaisir des travailleurs du Centre, et reste à ce jour, ayant été rénové en 1986.

avec l’adoption de L’Initiative Green Roof de Denver lors des élections de novembre 2017, à compter de janvier 2018, les nouveaux bâtiments ou les bâtiments existants répondant aux seuils de l’initiative doivent avoir des jardins sur le toit, éventuellement combinés avec des panneaux solaires photovoltaïques.

Seattle est une autre ville dans laquelle les toits verts ont été utilisés de plus en plus., Ce phénomène est en grande partie dû aux efforts de la ville pour encourager les toits verts grâce à de nouveaux codes du bâtiment améliorés. En 2006, le programme Seattle Green Factor a été approuvé. Le programme récompense l’intégration de l’aménagement paysager dans les nouveaux bâtiments dans le but de réduire le ruissellement des eaux pluviales et la pollution associée, de stabiliser les températures et de créer des habitats pour les oiseaux et les insectes. Ces changements ont été élargis en 2009 afin de reconnaître les avantages spécifiques des toits verts pour les eaux pluviales et de récompenser les promoteurs qui les ont utilisés en conséquence.,

en 2010, Seattle abritait environ 8,25 acres (3,34 hectares) de toits verts. Malgré le hoquet initial dans la ville dû aux mauvaises herbes, le manque d’irrigation pendant les mois d’été secs et le besoin de replantation continue, le projet a continué de réussir car la compréhension des meilleurs sols et plantes et le besoin de surveillance et d’entretien ont augmenté., Une enquête de 2010 sur les toits verts à Seattle a reconnu que même si les coûts initiaux de mise en œuvre d’un toit vert peuvent dissuader les entreprises ou les propriétaires, il est probable que les toits verts préservent réellement le matériau de couverture et réduisent les coûts à long terme. À la lumière du succès de Seattle, D’autres villes telles que Portland, Chicago et Washington, D. C. ont toutes fait des efforts pour développer leurs propres programmes de facteurs verts.

La Mairie de Seattle a ouvert la voie en mettant en œuvre un projet de toit vert qui a impliqué la plantation de plus de 22 000 pots de sedum, de fétuque et d’herbe., La ville espère que le projet pourra réduire le ruissellement annuel des eaux pluviales pour le bâtiment de 50 à 75%, ce qui réduira à son tour les dommages causés aux zones de bassin versant locales qui fournissent des habitats aux espèces indigènes telles que le saumon. Le bâtiment historique Union Stables a utilisé des toits verts aux côtés d’autres changements basés sur l’efficacité pour réduire le ruissellement des eaux pluviales et réduire la consommation d’énergie du bâtiment de 70%. Le bâtiment Park Place dans le centre-ville de Seattle fournit un exemple de premier plan de l’utilisation de l’aménagement paysager pour récupérer l’eau de pluie dans l’espoir de réduire les dépenses en services publics.,

Washington D. C.

Washington D. C. a commencé à mettre en œuvre des incitations pour les toits verts dans leur ville au début du 21e siècle. En 2003, la fondation de la baie de Chesapeake a lancé un « projet de démonstration de toit vert” en collaboration avec la D. C. Water and Sewer Authority. Ce programme a accordé des subventions à plusieurs projets pilotes de toits verts, ce qui aiderait le propriétaire de l’immeuble à assumer les coûts de construction. À partir de ce projet, la ville a commencé à comprendre à quel point ces toits pouvaient être bénéfiques et d’autres programmes ont été mis en œuvre au fil des ans., En 2007, le programme de récompenses Riversmart a mis en place un programme de remise sur les toits verts de RiverSmart Rooftops qui accorderait une subvention de 3 per le pied carré à des projets de toits verts potentiels dans le District. Cela a culminé pour aider 12 projets cette année-là. Un an plus tard, la subvention a été portée à 5$, incitant encore plus de développeurs à utiliser ce programme dans leur conception. Il est également possible, grâce au programme de récompenses RiverSmart, que « les résidents et les propriétaires reçoivent un rabais important sur leurs frais de service d’eau” s’ils installent des fonctions de gestion des eaux pluviales approuvées., En 2016, un rabais de 10 $à 15 per le pied carré a été instauré, « favorisant l’installation volontaire de toits verts dans le but de réduire le ruissellement des eaux pluviales et les polluants”. Des rabais de 10 per par pied carré ont été fixés pour l’installation dans un réseau d’égouts unitaires. Des rabais de 15 per par pied carré ont été fixés pour l’installation dans un réseau d’égout pluvial municipal. Le plus grand aspect de ce projet incitatif est l’absence de restriction du type de bâtiment admissible. Il n’y a pas de limite de taille sur les propriétés admissibles, qu’elles soient résidentielles, commerciales ou institutionnelles. En 2016, il y avait un total de 2.,3 millions de pieds carrés de toiture verte dans le quartier. En 2020, il y a 5,1 millions de pieds carrés de toiture verte.